Recherche
· Pour préparer le spectacle et le film documentaire, nous avons bénéficié de trois résidences de travail à l'abbaye de Royaumont. Une table ronde réunissant différents spécialistes de Rousseau a été organisée au terme de la dernière résidence (cf. programme ci-dessous). Les Lunaisiens ont également interprété plusieurs pièces de musique de Rousseau lors de cette journée d'étude.
· Les pièces de musique travaillées par les Lunaisiens pour le film documentaire, ainsi que pour le spectacle, ont donné lieu à un enregistrement réalisé à Royaumont pour l'exposition C'est de l'homme que j'ai à parler: Rousseau et l'inégalité du musée d'ethnographie de Genève.
· Forts de cette expertise concernant la musique de Rousseau, les Lunaisiens ont été invités pour plusieurs masterclasses au Centre de Musique Ancienne de la Haute Ecole de Musique de Genève. Leur travail avec les étudiants autour de la chanson et de la romance a abouti à un concert donné une première fois lors de la fête de la musique en juin 2102 (cf. programme ci-dessous). Plusieurs étudiants ayant participé à ces ateliers ont ensuite intégré l'équipe du spectacle.
· Notre projet a également eu des extensions académiques. Deux séminaires ont été donnés en 2012 au département de musicologie de l'Université de Genève sur des sujets en lien avec Rousseau par Georges Starobinski (L'opéra comique et sa diffusion européenne au 18e siècle) et Brenno Boccadoro (Penser la théorie harmonique au temps des Lumières). Nancy Rieben a également accueilli le 22 octobre 2012 dans son séminaire d'édition musicale une conférence de Jacqueline Waeber sur le Devin du Village.
· Une table ronde organisée par le département de musicologie a eu lieu au théâtre du Galpon suite aux représentations du spectacle Le Devin [loin] du Village. Le concert des étudiants de la HEM a été redonné à cette occasion. (Cf. programme ci-dessous)
· Le fruit de nos recherches a été en partie réuni dans le programme du spectacle (cf. ci-dessous), ainsi que lors d'une émission radiophonique assurée par Mathilde Reichler et lors d'une conférence qu'elle a donnée à l'Opéra Comique à Paris (texte à paraitre dans les actes du colloque).